Bien évidement je ne parle pas de l'affection banale type "j'aime bien, ça mouille,ça fais du bruit et ça te retourne le brushing façon trollz", NAN.
Si je parle de ça ici et a cette heure c'est parce que tout déchainement météorologique de ce type a pour effet immédiat de mettre ma libido au maximum.
Aussi loin que je me souvienne de mes premières envie de voir le loup (c'est a dire au collège, l'époque bénie des classes de popularité et des hormones en bordel), le truc qui m'a toujours déclenché mes pulsions sexuelles c'était la pluie.
Alors vous pensez bien que pour les orages c'était un peu la fête du slip si j'ose dire.
J'ai jamais trouvé la quelconque explication pseudo freudienne a ce phénomène. (Alors que le délire d'attacher mes partenaires sexuels je sais que je l'ai depuis trèèèèèès longtemps pour une raison vraiment précise que je dévelloperai peut être un autre jour)
BREF! Si je pars dans ces dérivations érotiques c'est qu'il y a une heure, des éclairs on pété au dessus de paris (car je me doute que les nuages ne reste pas que au dessus du 9ème arrondissement) et du coup de cause a effet : grosse pluie, vent, ramdam de bâtard... Qui comme le sifflet du chasseur reproduisant le cri pré nuptial du canard, fais un stimuli direct et très efficace a la partie de mon cerveau dirigeant ma libido : le septum.
Ce sale enfoiré réveille alors sans aucune raison valable mon vagin qui d'un coup décide qu'une culotte sèche est revêche, et qu'il est temps de la mouiller un peu. (histoire d'être en symbiose avec la météo)
Mon imagination ce peuple alors d'images très nette et je ne peu plus rien faire d'autre que de penser a ça.
Quand j'étais ado (que ça fais loin dis comme ça) c'était pas le truc le plus pratique. Il n'était pas rare que je sois frappée du syndrôme de l'excitation du a l'orage alors que j'étais en cour. Allez vous sentir bien dans vos pompes quand vous êtes en plein cour de math a côté du mec qui vous donne de légères envies de viol depuis 4ans, que vous êtes mal dans votre peau avec vos kilos en trop, vos vêtements large et votre acnée. Et que d'un coup alors que la pluie frappe, mouille la vitre a côté de vous dans un rythme proche de celui de votre pulsation sanguine. Vous n'avez qu'une envie que le mec a côté de vous reproduise ce rythme avec ses coups de rein.
ça aidais pas a maîtriser les identités remarquables ça...
Mais passée la période pénible du collège, l'arrivée au lycée ma réconcilié avec ce réflexe. Je suppose que c'est la période où on se réconcilie avec sa sexualité car d'un coup ça c'est révélé être un très agréable passe temps en cour ce petit réflexe. J'atteignais des sommets d'excitation et de pensées obscènes. J'imaginais tour a tour des nuits dans le lycée vide, avec aucune lumières, un orage a l'exterieur et moi me soumettant a l'excitation primitive de mon coup de coeur masculin de la semaine ou alors des planques dans des forêts humides, prise contre un arbre avec la pluie battant contre mes tempes.
Ce qui me fais me dire que y en a qui on raté quelque chose quand j'étais au lycée. Aucun mec voulais de moi alors que je pense que dans ma tête j'étais déjà bien plus prête a faire des choses outrageusement coquine que mes autres camarades. Mais bon je me suis rattrapée plus tard c'est ce qui compte. Je pense que c'est pas mon mec qui dira le contraire.
Sur ce j'en ai finis pour ce sujet passionnant. Maintenant que j'ai calmée ma libido dans ses lignes. (car bien entendu il pleut mais ma verge préférée est au abonné absent) Je peut m'en retourner a des activités tel que DORMIR. (hahahaha)
"Ouh comme je suis génée ma robe s'est soulevée sur mon si sage porte-jarretelles, bien entendu je n'ai absolument aucun désir que vous veniez m'arracher ce qui me sert de culotte et qui vous me montriez comment on utilise vraiment un banc"
Oui bon d'accord je me calme.
Bon ben
Bonne nuit?